L’artiste Oji apprend à dessiner en même temps qu’il découvre la bombe aérosol, en 2014, alors âgé de 25 ans.
Après de nombreuses peintures spontanées, dans les rues de Paris et New-York notamment, il reçoit à présent des commandes institutionnelles. Festivals, chantiers éducatifs, projets de renouvellement urbain : à chaque nouvelle peinture Oji cherche un concept pour mettre l’humain au centre du projet.
Influencé par la peinture américaine et le design graphique, il développe peu à peu son propre style, en l’enrichissant continuellement par l’apprentissage du dessin et la maîtrise des couleurs.
De portraits minimalistes, dans lesquels chacun peut s’identifier, en feuillages colorés qui marquent un besoin de nature dans un monde urbain bétonisé, Oji se sert de la poésie pour nourrir des messages humanistes.